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- Il y a quatre-vingt-dix-neuf brebis en paix, Dans la bergerie du Seigneur.
Mais une s’est égarée loin sur les collines,
Elle était si loin des portes dorées,
Égarée sur les montagnes incultes et nues,
Loin de l’amour et des tendres soins du Berger Loin de l’amour et des tendres soins du Berger.
- Seigneur, voici Tes quatre-vingt-dix-neuf brebis, Ne sont-elles suffisantes pour Toi? L’une d’entre mes brebis
s’est égarée très loin ; Telle fut donc la réponse du Seigneur.
Bien que le chemin soit dur et escarpé,
Je vais au désert pour chercher ma brebis.
Je vais au désert pour chercher ma brebis.
- Les rachetés n’ont jamais su que le Christ, Traversa des eaux si profondes ;
De même que des nuits sombres et très effroyables Pour retrouver Sa brebis perdue. Loin, dans le désert,
Il entendit son cri, Malade, désespérée et près de la mort.
Malade, désespérée et près de la mort.
- Seigneur pourquoi toutes ces gouttes de sang versé,
Sur la voie qui mène au Calvaire?”
“Il fut versé pour une brebis égarée,
Pour qu’elle soit ramenée au Berger.
Seigneur : “Pourquoi tes mains sont-elles écorchées?” “Elles furent percées cette nuit-là par des épines.
Elles furent percées cette nuit-là par des épines.”
- Du haut des montagnes et des pentes escarpées ; D’où grondaient de puissants tonnerres ; S’éleva un grand
cri vers la porte du ciel: Quelle joie ! J’ai retrouvé Ma brebis!” Et les anges répondirent autour du grand
trône.
“Quelle joie, ô le Seigneur ramène Sa brebis”.
“Quelle joie, ô le Seigneur ramène Sa brebis”.